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[ Source : Moto Magazine ]

Tradition incontournable dans le monde motard, des balades motos sont organisées tout au long de l’année via les moto-clubs, les forums Internet ou entre copains. Mais attention, un déplacement en groupe ne s’organise pas de la même manière selon le nombre de participants.

Depuis un décret du 16 mai 2006, « tout rassemblement comportant la participation de véhicules terrestres à moteur, qui se déroule sur la voie publique dans le respect du Code de la route, qui impose aux participants un ou plusieurs points de rassemblement ou de passage et qui est dépourvu de tout classement doit être déclaré en préfecture ».

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Vraie concentre.
À défaut de seuil minimum, cette définition très large de la « concentration » laisse à penser que les balades à plus de 2 motos sont concernées par l’obligation de déclaration. Interpellé par le Codever sur la légalité du décret, le Conseil d’État a précisé dans un arrêt du 7 mai 2008 que la déclaration n’est pas une obligation systématique, et qu’elle ne s’impose que si l’événement est « susceptible d’avoir une incidence sur les conditions de circulation et sur la sécurité des usagers des voies ».

Reste à évaluer ce risque potentiel. Un groupe d’une quinzaine de motos risque déjà de gêner la circulation des autres usagers… Si le nombre de motos est important, mieux vaut donc déclarer ladite balade (lire encadré). S’il compte plus de 400 machines, il faudra demander une autorisation.

 

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Amies Motardes, amis motards,
 
Vous avez sans doute remarqué que depuis quelques jours, la presse s’affole sur l’éventualité d’un stationnement payant des 2 roues motorisés à Paris.
 
Voici quelques précisions afin de remettre les choses dans leur contexte.
 
Lors de la dernière campagne municipale de 2014, alors qu’Anne Hidalgo et Nathalie Kosciusko-Morizet étaient au coude à coude pour prendre le pouvoir à Paris, nous avons pris rendez-vous avec l’une et l’autre pour leur faire savoir que la FFMC de Paris, s’opposait au stationnement payant pour les 2RM. NKM, nous avait répondu qu’elle souhaitait créer 50.000 places de stationnement payant en sous-sol (beau cadeau pour Vinci qui gère le racket juteux des parkings). Quant à Anne Hidalgo, elle nous avait promis que si elle était élue, elle augmenterait le parc de stationnement en surface et qu’elle en conserverait la gratuité.
 
Aujourd’hui, force est de constater que nous pouvons reprocher pas mal de dérives à Anne Hidalgo et sa politique de mobilité, mais pour autant et même si ce n’est pas suffisant, le parc de stationnement s’élargit et surtout, il reste gratuit. Dernièrement, la maire de Paris nous a réaffirmé qu’elle tiendrait sa promesse. Mais pour les prochaines élections municipales, nous saurons nous rappeler au bon souvenir des candidats, et là, il faudra se mobiliser en masse, car la tentation sera forte pour le nouveau maire de faire casquer les propriétaires de 2 roues motorisés.
 
Ce qui a changé, par contre, c’est la tolérance Zéro du stationnement sur les trottoirs Parisiens. Sur ce point, les écologistes locaux ont une position dogmatique et poussent à la roue pour appuyer cette intolérance. Seulement voilà, les places sur la chaussée, sont insuffisantes. Mais, les écolos, s’en foutent, ils veulent que tout le monde roule à vélo. En attendant, et même si ce n’est pas l’idéal, en plus des stationnements dédiés aux 2 roues, nous avons obtenu de la mairie de Paris la possibilité de stationner nos bécanes gratuitement sur les emplacements voiture.
 
Oui, ce n’est pas top. Mais vu qu’en ce moment, ils sont déchainés sur les trottoirs, c’est toujours moins pire que de prendre une prune à 35 € et surtout de risquer de se faire enlever sa moto ou son scooter par la fourrière.
Par ailleurs, une certaine presse, affirme que l’amende pour le stationnement d’un 2RM sur le trottoir est de 135 €. C’est totalement faux. Cette amende est prévue pour un véhicule 4 roues dont le stationnement sur la chaussée ou le trottoir, est jugé dangereux. Pour un 2RM sur le trottoir, l’amende est de 35 €. Si vous recevez une amende à 135 €, c’est une erreur de l’agent et il faut la contester !!!
 
Bien évidemment, on ne se contente pas de ça. Le 2 roues motorisé est une très bonne alternative à l’engorgement des villes et si chaque usager de moto et scooter devait reprendre sa voiture ou les transports en commun, ça mettrait un beau bordel en surpeuplant les trains et le métro et en venant ajouter encore plus de kilomètres de bouchons dans Paris et sa banlieue.
 
Nous continuons à nous mobiliser et à nous battre contre les anti-moto/scooter pour que soit réappliquée la tolérance du stationnement des 2 roues motorisés non gênant sur le trottoir !!!
Plus nombreux, plus forts. Restez vigilants et mobilisés !!!
 
Jean-Marc BELOTTI
Coordinateur FFMC Paris et Petite Couronne

[ Source : Moto Magazine ]

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Une rumeur persistante fait état de la mise en place d’un Bonus-Malus au 1er janvier 2020 qui aurait pu impacter le prix des motos - thermiques - neuves. La FFMC, désireuse d’en savoir plus sur ce sujet sensible, a pris contact avec le chargé du dossier au Ministère de la transition écologique, qui a formellement démenti !

Le Ministère a bien compris que le sujet était épineux pour les usagers de 2RM et le chef de projet nouvelles mobilités a assuré à la FFMC de ne rien engager sur ce sujet sans l’avoir consultée au préalable. Une excellente nouvelle dans l’optique de futures discussions sur les sujets de la transition énergétique ! L’occasion de rappeler que le Bonus-Malus n’est qu’une des 11 mesures proposées par le gouvernement (voir Moto Magazine d’octobre 2018).

ffmc12[ Source : Facebook de la FFMC12 ]

De nos amis Aveyronnais


Réflexions sur la colère et la violence…


Depuis que la FFMC a été fondée en 1980, les premières réactions qu’entendent ses adhérents et ses représentants, c’est «pourquoi êtes-vous en colère ?» …et il nous faut toujours désamorcer cette interprétation inquiète du mot «colère» en rappelant que ça ne veut pas dire «violence».


En cette fin d’année 2018, les mots «colère» et «violence» reviennent en force dans le débat public, brandis par les médias, les politiciens et ceux qui ont revêtu un gilet jaune en dernier recours pour exprimer leurs détresses et surtout, leur colère.


La colère (celle des motards à la fin des années 1970 en l’occurrence), c’est ce qui a fondé la création de la FFMC : en colère contre des décisions arbitraires, en colère d’être considérés comme les boucs-émissaires de l’accidentalité routière, en colère contre des réglementations absurdes, en colère contre la mauvaise foi des représentants de l’autorité qui prétendent régir des usagers qu’ils méconnaissent et que parfois, ils méprisent.


De cette colère, la FFMC et ses militants ont fait une force qui s’est traduite en actions : création de l’Assurance mutuelle des motards, d’un magazine de presse indépendant, réflexions et propositions sur l’éducation routière, les infrastructures routières, oppositions à la surenchère réglementaire, comme le contrôle-technique ou le port obligatoire et permanent du gilet jaune pour les motards décidé en 2012 sous Sarkozy et finalement lâché sous Hollande en 2013… suite à la ténacité de la FFMC

Certains doutes existent ...

[ Source : commentcamarche.com ]

 

Le contrôle technique d'un scooter ou d'une moto pourrait bientôt devenir obligatoire en cas de vente d'occasion. Le point sur ce qui pourrait changer.

 

Jusqu'à maintenant, les règles applicables au contrôle technique des voitures ne concernaient pas les motos et les scooters en France. Mais la réglementation routière pourrait changer dans les années à venir pour la vente et l'achat de deux-roues.

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Réglementation

 

Les propriétaires de voitures (véhicules particuliers) doivent faire faire un contrôle technique tous les 2 ans dès lors que leur véhicule a plus de 4 ans. Toutefois, les motos et les scooters sont dispensés de cette obligation.

Mais d'autres règles spécifiques s'appliquent lorsque le propriétaire compte vendre son véhicule.

Vente et achat

Lorsque le propriétaire d'une voiture de plus de 4 ans souhaite la vendre, il doit obligatoirement faire réaliser un contrôle technique. Ce dernier doit dater de moins de 6 mois (ou de moins de 2 mois en cas de contre-visite).

Actuellement, cette obligation ne s'applique pas aux deux-roues. Mais le ministère de l'Intérieur envisageait il y a peu de modifier la réglementation routière applicable aux ventes de motos et de scooters. Selon le projet envisagé, le propriétaire d'un deux-roues devait ainsi faire réaliser un contrôle technique avant de pouvoir vendre son véhicule. Les points examinés portaient notamment sur les freins, la vitesse ou la signalisation.

Cette nouvelle obligation de contrôle technique viendrait s'ajouter à la liste des documents obligatoires en cas de vente d'une moto d'occasion.

Prix

Selon Emmanuel Barbe, délégué à la sécurité routière, le coût du contrôle technique d'un deux-roues serait situé entre 50 et 70 euros.

Date d'entrée en vigueur

Cette nouvelle mesure avait été décidée par le Comité interministériel de la sécurité routière du 2 octobre 2015. Initialement, elle devait entrer en vigueur à compter du 1er octobre 2017. Mais cette réforme, très contestée par les associations de motards, a finalement été abandonnée.

Toutefois, la Commission européenne souhaite imposer cette obligation aux Etats membres de l'UE d'ici 2022. La question pourrait donc à nouveau être débattue dans les mois et années à venir.

 

Crédits photo : 123RF - Thanthima Limsakul

Réalisé en collaboration avec des professionnels du droit et de la finance, sous la direction d', diplômé d'HEC.

 

 

 

 

[ Source : Le Figaro  par Benoît Duteutre]

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TRIBUNE - Avec talent et humour, l'écrivain* décrit le martyre des Parisiens ainsi que des Franciliens qui travaillent dans la capitale et dont le seul crime est de devoir se déplacer en voiture.


En publiant Respirer après des mois de polémiques sur son mandat, Anne Hidalgo rappelle ses talents de tacticienne maîtrisant les codes d'une époque où la communication importe davantage que le réel. Il suffit donc de se présenter, sans relâche, comme une combattante de l'écologie, attachée à une planète «durable» et veillant sur la santé des Parisiens... pour faire oublier que de telles prétentions se voient chaque jour démenties sur le terrain. Pour beaucoup de Parisiens, en effet, sa politique se traduit concrètement par davantage de pollution, de bruit, de nuisances et autres désagréments qu'elle balaye d'un revers de plume en s'appropriant le mot «respirer».


Soyons précis: j'habite près de la Seine un quartier supposément privilégié, ce qui ne m'empêche pas d'être un citoyen comme les autres, censé bénéficier des bonnes intentions environnementales de la mairie. Malheureusement, autour de chez moi, la fermeture du dernier tronçon de voies sur berges s'est traduite par des effets radicalement contraires: boulevard Saint-Germain et sur les quais de la Seine, dans le quartier Saint-Michel comme près de l'Hôtel de ville, la circulation, autrefois plus ou moins fluide selon les heures, s'est transformée en embouteillage permanent.


Les autos piétinent, fument, avancent mètre par mètre dans des carrefours congestionnés du matin au soir. Soumis aux émanations d'hydrocarbures, les piétons tâchent de se frayer un chemin dans les passages protégés. L'air sent mauvais. Les véhicules de secours et fourgonnettes de police, coincés comme les autres, usent vainement de leurs sirènes. Le bruit rend nerveux, il entretient une tension permanente qui fera bientôt fuir les derniers bouquinistes. Un peu partout, les malheureux conducteurs, pressés de rentrer chez eux, cherchent des itinéraires de secours en empruntant les petites rues, envahies comme elles n'avaient jamais été.


Les indicateurs de la mairie (qui ne reconnaît chiffres et jugements que lorsqu'ils lui sont favorables) prétendent que la pollution recule, légèrement. C'est peut-être le cas sur les voies sur berges interdites aux voitures, et tant mieux pour les cohortes de joggeurs et d'engins roulants qui s'y pressent le week-end, au moins lorsqu'il fait beau (souvent, il n'y a personne). Sauf que cette politique des bonnes intentions, pressée de «rendre les berges aux Parisiens, s'est traduite par un report de la pollution vers les quartiers qui entourent la Seine. En abolissant la circulation qui s'écoulait en contrebas, sans solution alternative, on a rendu infernale la vie quotidienne sur ces quais supérieurs qui sont l'une des plus belles artères urbaines, avec leurs façades, leurs commerces et leurs bâtiments historiques surplombant le fleuve ; puis le mal a contaminé les voies adjacentes où les Parisiens travaillent, commercent, déambulent.

 

Pour le bien supposé des habitants, l'Hôtel de ville a créé des bouchons dantesques. Si vous ne me croyez pas, allez vous promener quai Saint-Michel, quai du Louvre, quai des Célestins ou près du pont Sully. Mme Hidalgo entend porter plainte contre l'Europe pour dénoncer la pollution. Quant à moi, simple piéton, je serais tenté de porter plainte pour les menaces que ses décisions font quotidiennement planer sur ma santé.

 

C'est l'inconvénient des politiques vertueuses quand elles fonctionnent mal. Les représentants de la vertu préfèrent s'enfoncer dans l'erreur en espérant que leurs mauvaises solutions finiront par triompher. Pris dans cette impasse, ils voient derrière toute critique un complot (ou plutôt, dans le langage hidalgien, une forme de sexisme, de fascisme, voire d'hispanophobie). Depuis plusieurs années, les options suivies par l'Hôtel de ville ont ainsi montré leur faillite et leur absurdité. Car on ne supprime pas la pollution en créant des embouteillages pour dégoûter les automobilistes. Au mieux, cela diminue légèrement la circulation, tout en rendant plus polluants les véhicules condamnés à stagner dans des quartiers bouchés.


Mais le dogme de la mairie est clair: «la fluidité n'est plus un objectif». C'est pourquoi sans doute on voit se multiplier, partout, quantité de chantiers dont les barrières vertes, posées un mois avant ou après le début des travaux, achèvent de congestionner le trafic. Seuls bénéficiaires de cette catastrophe urbaine: les cyclistes, persuadés d'incarner le
développement durable et qui se permettent, pour cette raison, de vous rouler sur les pieds, comme s'ils représentaient l'unique perspective pour une agglomération de dix millions d'habitants.


L'hypothèse d'une cité bien organisée où quelques voies sur berges limiteraient la circulation en ville, où les boulevards seraient fluides et les couloirs de bus dégagés, ne serait-elle pas moins pernicieuse - pour les poumons, pour le bruit, pour le stress - que ce Paris qu'on nous impose aujourd'hui? L'accès à la capitale et au stationnement ne devrait-il pas être repensé et compensé par la qualité des transports publics?


La voie rapide qui filait joliment au pied de la Conciergerie n'aggravait pas les nuisances subies par les Parisiens, elle les tempérait. Cette soi-disant «autoroute urbaine» que la mairie se flatte d'avoir supprimée ne concernait d'ailleurs qu'une portion des berges, les autres étant depuis longtemps réservées aux bateaux et à la promenade. Voici l'équilibre imparfait qu'on a détruit en gâchant la vie quotidienne de nombreux Parisiens et banlieusards... mais sans toucher à certaines nuisances qui s'aggravent, comme cet essor incontrôlé de l'industrie touristique, avec ses autocars qui paralysent la ville sans réel bénéfice pour la population.


Penchée sur ses graphiques et sa guerre d'images, la mairie semble en effet considérer, avec plusieurs trains de retard, la progression du tourisme de masse comme un titre de fierté - àl'égal des compétitions sportives qui autorisent à détruire une partie des serres et jardins d'Auteuil.


Rien n'arrête Hidalgo, dédaigneuse pour l'adversaire et même pour son entourage. Rien ne peut ébranler cette supposée femme de gauche, drapée dans ses bonnes intentions et radicale dans la mise en œuvre de ses projets. Elle aurait d'ailleurs tort de s'en priver, tant les médias - nombre d'entre eux, en tout cas - se prêtent au jeu en confondant son action réelle et sa communication. À les croire, cette femme lutte contre la pollution et cherche à diminuer partout les nuisances, malgré la résistance de quelques lobbies. Un grand quotidien du soir, enquêtant récemment sur son action, n'hésitait pas à opposer les catégories de citoyens, comme ceux des quartiers populaires qui approuveraient la politique municipale et reprocheraient aux habitants du centre de s'attacher égoïstement à leurs intérêts - sans oublier quelques militants d'extrême droite opposés par racisme à la politique municipale.


Les habitants des quartiers périphériques gagneraient-ils quelque chose à ce que ceux de la Bastille ou des Tuileries soient quotidiennement mis à l'épreuve? Les victimes d'une politique urbaine démente ne seraient-ils que d'affreux réactionnaires? Ce ne sont pas là des réalités mais des clichés qui s'affrontent. Anne Hidalgo, de congrès en congrès, pourra donc continuer à se présenter devant les stars planétaires comme une femme qui lutte contre la pollution et veut bâtir une cité verte... quand Paris est devenu sous son influence, et plus que jamais dans le passé, un enfer urbain, faute d'une gestion raisonnable adaptée aux proportions et à l'équilibre particulier de cette ville.

 

Nous devons encore nous battre auprès de nos élus.
Pour cela, plus nombreux plus fort !
Soutenez-nous , adhérer, partager, on ne peut rien faire seul .
( cf. Le jour où la FFMC aura 1 million d'adhérents le regard des Pouvoirs Publics sera moins goguenard )

[ Source : Capiltal ]

Vignettes Crit’Air : après Paris, Lille ou Toulouse, le dispositif anti-pollution bientôt étendu à toutes les grandes villes de France ?

Déjà utilisée dans six métropoles françaises dont Paris, Lyon ou Toulouse, la vignette Crit’Air sera étendue à une dizaine d’agglomérations d’ici à la fin 2020. 

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La vignette Crit’Air sera-t-elle bientôt l'indispensable sésame des automobilistes circulant dans les grandes villes françaises ? Certainement, puisque ce dispositif sera déployé dans une quinzaine de communes françaises, d’ici deux ans. Il permet de lutter contre la pollution atmosphérique aux oxydes d’azote via l’instauration de zones d’exclusion des véhicules les plus polluants, à titre ponctuel (plages horaires déterminées, pics de pollution) ou permanent.

À ce jour, le macaron Crit’Air est déjà utilisé dans sept métropoles françaises, qui ont pris l’engagement de renforcer leur dispositif dans les deux années à venir. Il s’agit de Paris, Lille, Lyon, Toulouse, Grenoble, Strasbourg et Annecy. Dans la capitale, la vignette est même obligatoire en permanence : seuls les véhicules éligibles au certificat, et correspondant aux classes environnementales allant de 0 à 4 peuvent circuler entre 8 heures et 20 heures, en semaine. À Grenoble, les véhicules utilitaires et les poids lourds non éligibles à la vignette sont exclus de la circulation, du lundi au vendredi et de 6 heures à 19 heures. Dans les deux cas, les contrevenants s’exposent à une amende de 68 euros. Pour rappel, le certificat Crit’Air correspondant à la classe environnementale de votre véhicule doit être commandé via le site internet du ministère de la Transition écologique et solidaire. Il est uniquement accessible par ce biais au prix de 3,62 euros, envoi postal compris.

Neuf collectivités locales dans les starting-blocks

Les sept villes pilotes vont donc progressivement renforcer la lutte contre les véhicules qui polluent le plus par le durcissement des modalités d’accès aux “Zones à Faibles Emissions” (ZFE) existantes ou la création de nouvelles zones. En parallèle, neuf collectivités locales concernées par le dépassement du seuil de pollution atmosphérique réglementaire fixé par l’Union européenne se préparent à adopter le dispositif Crit’Air.

Il s’agit des métropoles d’Aix-Marseille, Saint-Etienne, Reims, Toulon, Rouen, Clermont, Fort-de-France, Montpellier et Nice. Ces neuf villes doivent déterminer l’emplacement géographique et procéder au déploiement d’une première ZFE, d’ici à la fin de l’année 2020. Dès la mise en place du dispositif, les automobilistes devront obligatoirement apposer leur certificat qualité de l’air Crit’Air sur leur pare-brise, afin de pouvoir circuler dans la (ou les) ZFE de leur agglomération.

Déjà onze millions d’usagers de la route concernés

Avec l’entrée dans le dispositif de ces neuf territoires, le nombre de véhicules arborant un autocollant Crit’Air sur le pare-brise s’apprête à exploser. À ce jour, 11 millions d’usagers de la route ont déjà commandé leur macaron, selon les chiffres du ministère de la Transition écologique et solidaire. Et c’est loin d’être fini, d’autant que la future Loi d’orientation des mobilités (LOM), bientôt soumise aux votes des députés, va entraîner la création de nouvelles Zones à Faibles Emissions, qui s’ajouteront à celles des neuf villes qui vont adopter le dispositif d’ici 2020.

Le projet de loi, porté par la ministre des Transports Elisabeth Borne, prévoit en effet de contraindre les agglomérations de plus de 100.000 habitants qui dépassent régulièrement le seuil de pollution à mettre en place une Zone à Faibles Emissions. Et ce, avant le 31 décembre 2020. L’objectif du gouvernement est clair : permettre à la France, qui totalise seulement 3 des 220 ZFE européennes, de rattraper son retard par rapport à ses voisins.

 

[ Source : Jean-Marc BELOTTI, Coordinateur FFMC Paris et Petite Couronne, depuis Facebook de FFMC PPC ]

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Bonjour à toutes et à tous,

Nous constatons que depuis l’article informant de notre décision à ne pas participer à la journée du 17, certains d’entre vous s’agacent… .
 
Alors, c’est un peu long, mais lisez bien ce texte qui apporte quelques précisions à celles et ceux qui ont mal compris ou mal interprété le choix de la FFMC Paris.
 
Tout d’abord, on hallucine de la violence des propos de certains. À se demander si on est encore dans notre monde de la moto ou le respect et la solidarité étaient encore de mise il n’y a pas si longtemps. Ensuite, nous avons exprimé une position et comme tous, nous avons le droit d’avoir notre opinion.
 
Certains nous cartonnent comme si on était responsables de la monté du prix du carburant que nous dénonçons avec véhémence depuis des lustres vu que ce n’est pas la première fois que ça arrive et que la prochaine est déjà programmée par les nocifs du gouvernement.
 
Nous on s’échine à défendre les droits des motardes et des motards et on est clairement contre la politique de Macron qui saigne les citoyens !!! C’est quand même incroyable d’être obligé de le rappeler …
 
Alors il serait bon que vous redirigiez le tir sur le bon objectif !!!

[ Source : facebook ]

-> le 80kmh se révèle être une formidable pompe à fric pour le moment, mais son incidence en matière de sécurité routière est nulle. Les fluctuations de la mortalité en sont décorrélées !

[ Source : Mutuelle des Motards ]

Les motards de 40 ans et plus représentent une part croissante des conducteurs de 2 et 3-roues à moteur, mais qui sont-ils réellement ? C’est pour répondre à cette interrogation que la Fondation Mutuelle des Motards a lancé sa première étude dont les résultats ont été rendus publics lors d’un colloque, le 22 septembre dernier à Metz. Une approche scientifique qui bouscule nombre de préjugés et d’idées reçues.

 

Baroudeur expérimenté, pilote chevronné, solidaire mais goguenard avec ses pairs : les clichés ne manquent pas pour définir un motard quadragénaire. Mais à l’épreuve de la réalité, la majorité de ces stéréotypes vole en éclats. C’est ce que démontre l’étude lancée par la Fondation Mutuelle des Motards, avec Marc Camiolo, docteur en sociologie, et le laboratoire 2-roues Lab'.
« Le travail d’enquête mené par le sociologue a été réalisé auprès de plus de 70 motards issus essentiellement du panel 2-roues Lab’. La diversité des profils des panelistes lui a permis de réaliser une approche réellement scientifique lors d’entretiens réalisés dans la capitale ainsi que huit grandes agglomérations », précise Vanessa Cucurullo, responsable du laboratoire 2-roues Lab’ à la Mutuelle. Contribuez, vous aussi, à l’évolution du monde du deux-roues en vous inscrivant au panel.

[Source : lefigaro.fr]

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À Paris, la verbalisation liée aux vignettes Crit'Air est en forte hausse depuis le début de l'année. 3705 amendes ont ainsi été distribuées entre janvier et avril 2018, contre seulement 176 entre juillet et décembre 2017.

De couleur verte, violette, jaune, orange, rouge ou grise, elles devraient en théorie orner le pare-brise de tous les véhicules circulant à Paris depuis mi-janvier 2017. Et pourtant, les vignettes Crit'Air, qui permettent de classer les véhicules en fonction de leurs émissions polluantes, sont encore loin d'être entrées dans les mœurs de tous les conducteurs.

» LIRE AUSSI - L'absence de vignette Crit'Air verbalisée à partir du 1er juillet

Depuis le début de l'année 2018, la mairie de Paris a donc décidé de renforcer les contrôles. Selon des informations du Parisien confirmées par la mairie au Figaro, depuis le 1er janvier 2018, les agents de surveillance de Paris (ASP) ont distribué pas moins de 3339 PV, et la police 366. Soit 3705 PV en moins de quatre mois.

Bien plus que les 176 PV distribués en six mois entre le 1er juillet et le 31 décembre 2017, selon des chiffres obtenus par le Figaro auprès de la préfecture de police de Paris. Une différence qui s'explique en grande partie par le choix d'une «première période de prévention et de pédagogie» avant une application rigoureuse du Code de la route, confie une source policière au Figaro.

«Cela fait clairement partie des priorités de la ville»

Christophe Najdovski, maire-adjoint chargé des transports, assume parfaitement ce tour de vis. «Paris est la première ville de France à avoir placé l'ensemble de son territoire en zone à circulation restreinte, dispositif qui permet de lutter quotidiennement contre la pollution de l'air. La verbalisation des vignettes Crit'Air permet d'assurer l'efficacité de cette mesure et d'améliorer la qualité de l'air, véritable enjeu de santé publique», explique l'élu au Figaro.

Depuis le 1er juillet 2017, en cas d'absence du certificat dans la zone à circulation restreinte que constitue Paris ou d'infraction aux règles en la matière, les contrevenants risquent une amende de 68 euros pour un véhicule léger et 135 euros pour un poids-lourd. De quoi inciter les automobilistes à s'équiper de ces fameuses vignettes Crit'Air, d'autant plus que la zone à circulation restreinte de Paris sera étendue jusqu'aux frontières de l'A86 dès janvier 2019...

Ces dernières semaines, Emmanuel Macron s'est lancé dans un véritable bras de fer face à des secteurs entiers de la société. Son but : imposer à la France entière une politique dogmatique, à l'inefficacité avérée depuis longtemps. Pour cela, ira-t-il jusqu'à provoquer la paralysie du pays ? Et le laisserons-nous agir ainsi, contre nos intérêts et ceux de la Nation ?

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Gilles Dixsaut, médecin, estime que la circulation différenciée avec Crit’Air ne permet pas de réduire la pollution. Ce jeudi, un colloque sur la santé et pollution de l’air se tient à l’Hôtel de Ville de Paris.

Alors que la Métropole du Grand Paris annonçait il y a quelques jours son intention d’étendre une zone de circulation restreinte jusqu’à l’A86 pour éliminer les plus vieux véhicules, Gilles Dixsaut, médecin hospitalier, président du Comité Francilien contre les Maladies Respiratoires, estime que limiter la circulation aux Crit’Air 1 et 2 est pire. Un avis qui tranche à l’heure où la Ville de Paris organise justement ce jeudi matin un grand colloque dédié à l’impact sur la santé de la pollution de l’air en partenariat avec l’AP-HP.

Pourriez-vous nous rappeler les effets de la pollution sur la santé ?

GILLES DIXSAUT. Santé Publique France (l’agence de santé publique placée sous la tutelle du ministère de la Santé), dans une étude de juin 2016, estime que la pollution provoque 48 000 morts prématurés par rapport à une pollution zéro. Cette étude montre aussi que les valeurs limites européennes n’apportent aucun gain en termes de mortalité prématurée. Car l’impact de la pollution est sans seuil.

C’est-à-dire ?

Réaction de Fabien Di Filippo, député LR de la 4ème circonscription de la Moselle sur la présentation des 18 mesures du CISR établit le 9 janvier d'Emmanuel BARBE, délégué interministériel à la sécurité routière, en présence de Didier Martin, préfet de la Moselle et de Patrick WEITEN, président du conseil départemental de la Moselle , aux élus, au monde associatif et aux acteurs économiques.

[ Source : Facebook FFMC50 ]

L’automobiliste a reconnu des excès de vitesse mais nie avoir fait un geste déplacé en passant devant les cabines de radar automatique.

Le Parquet a estimé que le conducteur qui avait fait un geste déplacé avait outragé les fonctionnaires amenés à visualiser les images prises par les radars.

Un automobiliste en excès de vitesse risque de deux à quatre mois de prison ferme pour avoir effectué un geste déplacé en passant devant des radars automatiques. Le 22 mai 2015, cet automobiliste de Régny (Loire) passe au volant de son Opel à une vitesse excessive devant les radars automatiques de Saint-Forgeux-Lespinasse et de Bessay-sur-Allier. Il est flashé à deux reprises.

Dans un premier temps, le véhicule ne peut être identifié car la plaque d’immatriculation a été modifiée à l’aide d’un bout de ruban adhésif noir. Après enquête, le propriétaire de la voiture est retrouvé.

Lors de l’audience au tribunal, selon le Progrès, le procureur de la République pointe une autre infraction : l’homme a fait à deux reprises un doigt d’honneur en passant devant la cabine de radar.

 [ source: contrepoints.org ]

Limitation à 80 km/h : le problème n’est pas la vitesse, mais la lenteur !

C’est une limite de lenteur que la France, comme seul pays de l’Union Européenne, propose régulièrement de réduire encore plus, en particulier avec la nouvelle loi sur les 80km/h sur les routes.

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La limitation de la vitesse à 80km/h sur les routes ne vise pas à protéger les citoyens mais à les soumettre aux impératifs de la lenteur. Par rapport à la seule politique de la sécurité routière en France, ne semblerait-il pas exagéré d’avancer qu’elle montrerait que le gouvernement est tyrannique et que les citoyens sont des esclaves ?

Et pourtant…

Le problème fondamental avec la soi-disant sécurité routière, c’est que dès la case départ, les autorités trichent — le gouvernement triche avec les termes de base propres à la conversation.

 

>>> Lire aussi Limitation à 80 km/h : la bourse ou la vie ?

Nous parlons évidemment d’expressions comme la limite de vitesse ainsi que le mauvais comportement des délinquants punis pour excès de vitesse ou vitesse excessive.

Quand les conducteurs lambda sont verbalisés, ce n’est pas pour avoir roulé trop vite, non, pas du tout. N’ayons pas peur de dire la vérité, c’est pour ne pas avoir roulé assez lentement.

Ne pas se laisser tromper par la langue

La conclusion est inévitable : on ne devrait pas dire la limite de vitesse — expression qui serait à assimiler à la Novlangue (La liberté c’est l’esclavage) dans le roman d’anticipation de George Orwell, 1984 — mais la limite de lenteur ; et les VMA (les Vitesses Maximales Autorisées) devraient donc être nommées les LMA (les Lenteurs Maximales Autorisées).

[ Source : Courrier Picard ]

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Difficile de dire combien ils étaient au juste. «Mille motos» au moins, comme l‘affument les organisateurs ?


Certitude, la démonstration de force annoncée par la fédération des motards en colère (FFMC) à bien eu lieu samedi à Amiens, envahi le temps d'un après-midi par plusieurs centaines de « gros cubes ». Un impressionnant cortège sur fond de klaxon et de coups d‘accélérateur rageurs, qui aura produit sur son passage des embarras de circulation impressionnants. Le tout pour manifester une opposition farouche à la généralisation du 80 km/h sur les routes secondaires

« DES ACTIONS SPECTACULAIRES »

16 heures. centre-ville. Après avoir bloqué un temps les accès sud. le cortège fait relâche devant le palais de justice. Au micro, Philippe Leduncq. président de la FFMC 80: «Symboliquement. nous nous retrouvons ici. devant le palais de jusrice, parce que c‘est là que nous viendrons demain pleurer pour qu'on nous laisse notre permis. Et c'est là aussi que çaflnira si le gouvernement refuse de nous écouter, parce que dès le mois prochain nous allons passer à de nouvelles formes d‘action autrement plus spectacu

 

L'odeur de poudre des pétards et des fusées d'artifice se mêle à celle des gaz d'échappement... Deux casques en flamme atterrissent dans la cour pavée du palais de justice sous les vivats de la foule. Sur le trottoir d'en face, Éric, la cinquantaine. est venu de Crépy-enValois dans l'Oise. «Les 80km/h, c‘est une vaste fumisterie, Un truc pour remplir les caisses de l‘État et certainement pas pour assurer la sécurité des usagers sur la mule.

 

« 80 km/h, ce sera source de distraction pour les automobilistes »

 

Un peu plus loin, Christophe Bazin, assis sur une moto depuis 15 ans, est lui aussi persuadé que la mesure n'a d‘autre préoccupation que financière: «A 80 km/m. les gens vont se sentir en sécurité. Ce sera source de distraction. les automobilistes hésitemnt mains à regarder leur téléphone.]e redoute une multiplication des collisions frontales... . » Jeanne-Marie, sa passagère, note qu'à 80 km/h les motos comme les voitures se retrouveront à la même vitesse que les poids lourds. Sans réserve pour doubler. Persuadé qu‘il reste de l'espace pour obtenir le retrait de la mesure, Christophe Bazin a participé à l‘enquête lancée par le Sénat qui réclame en vain jusqu'ici les résultats de l'expérimentation menée sur quelques portions de routes. Façon de rappeler que le combat des motards passe aussi par les hommes politiques. Et les autres usagers de la route: «Pour l'instant, nous sommes seuls à nous mobiliser. déplore Philippe Leduncq. Ce qui ne veut pas dire que les autres approuvent. Nous avons déjà avec nous quelques automobilistes. Il faudra que d‘autres nous rejoignent... » Cette convergence  ou non  des luttes sera un élément clé pour l‘avenir de la mesure. Reste à vérifier si les automobilistes seront prêts à quitter l'ambiance feutrée de leur habitacle pour rejoindre dans la rue une famille « motards » à l'esprit de corps plus affirmé. En attendant, la FFMC promet des actions de nature à médiatiser son combat..

 

 

[ Source : France Bleu ]

870x489 20180306 074403"La politique du gouvernement, c'est de la sécurité rentière, pas de la sécurité routière" - Franck Clouzet © Radio France - François Guéroult

 

 


2 mois après l'annonce des 80 km/h maximum sur les routes départementales, la mobilisation de la Fédération française des motards en colère ne faiblit pas: rassemblements chaque week-end, avant une grande manifestation à Paris le 5 mai. Franck Clouzet, (FFMC45) était l'invité de FB Orléans ce matin.

 

Depuis 2 mois, chaque week-end, c'est le même scénario : des rassemblements sont organisés ici où là en France par la Fédération française des motards en colère pour dénoncer l'abaissement à 80 km/h de la vitesse maximale autorisée sur les routes départementales à compter du 1er juillet. "L'idée, c'est de maintenir la pression jusqu'à cette date-butoir, car nous ne considérons pas que les choses sont acquises", explique Franck Clouzet, le coordinateur de l'association dans le Loiret. Des rassemblements sont prévus le week-end prochain à Clermont-Ferrand, le 17 à Tours ; il y aura ensuite le 15 avril des rassemblements dans chaque département, avant une grande manifestation nationale le 5 mai à Paris, "pour fêter aussi le cinquantenaire de mai 68".

 

"Sécurité rentière, et non pas sécurité routière"

 

Sur le fond, la FFMC réaffirme que cette mesure des 80 km/h sera inefficace : "C'est sûr que si on met la vitesse à 0 km/h on aura zéro mort, on peut aller aussi à l'extrême, ironise Franck Clouzet. Sauf que dans les enquêtes d'accidentologie, la vitesse n'est qu'un facteur aggravant, ce n'est pas le facteur principal. Si on veut vraiment sauver des vies, il faut s'attaquer à l'alcool au volant, à la drogue au volant, aux moyens de distraction pendant la conduite : les téléphones portables, notamment...

 

Franck Clouzet ne croit pas, donc, aux prévisions du gouvernement qui espère sauver 350 à 400 vies grâce à cette mesure ; il assure aussi que ce mouvement de contestation dépasse de très loin les seuls motards, et qu'il prend de l'ampleur dans le milieu rural. Franck Clouzet récuse enfin toute récupération politique : "Ceux qui nous rejoignent ne sont pas macronistes, mais ça fait plus de 40 ans que notre fédération refuse toute accointance avec les politiques, quels qu'ils soient." Alors qu'une lettre ouverte des présidents de Département vient d'être adressée au Premier Ministre, pour qu'il renonce à cette mesure : lettre signée au départ par 28 présidents, on en est à 30 aujourd'hui, dont Marc Gaudet, le président du Département du Loiret, qui s'est toujours dit sceptique face aux 80 km/h.

 

En ce concerne la FFMC50 :

Bonsoir à tous,
Caen organise un départ dés 8h30, RDV Centre Routier de Mondeville départ 9h.

Café offert , apportez votre pic-nic.
Les actions de Rouen seront dévoilées sur place.
RDV au Grand Parking de la Maison Brulé dés midi avec la 27 et La 76.
Le départ de Caen prendra la nationale et prendra en passant les copains de Troarn et de Dozulé, Pont-lèvéque et Pont Audemer.

 

Les copains de la 50 sont occupés et nous le bureau sommes en réunion à Caen avec les antennes 61,76,27,14, sur les projets de chacun et ceux nationaux.

Nous ne souhaitons pas trop user les copains dans des actions ou il y a déjà plus de 5h de route.

Nous préférons garder nos forces pour les actions à venir, nous revenons très vite vers vous pour plus d'infos ...

 

Merci de votre compréhension.
Crdt

La FFMC50

 


 

Proposition du groupe "Resistance VIKING"

manif 24 fev - proposition Résistance Viking

 

[ Source : Station 70 vu par le car'antan ]

Les collectionneurs de voitures anciennes en colère contre le contrôle technique.

[ Source : Moto-Mag ]

arton33940La FFMC de l’Aube appelle à la résistance de tous les usagers de la route !
Devant la dernière annonce gouvernementale instaurant une limitation de vitesse à 80 km/h, la Fédé invite les usagers à interpeler les parlementaires et à se réunir devant la préfecture de l’Aube à Troyes le samedi 27 janvier.

[ Source : La dépèche ]

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En 2014, les motards défilaient déjà contre la limitation à 80 km/ h. Photo PB, archives JM Mazet.

 

Au ton de sa voix, l'agacement est palpable du côté de Jérôme Pentolini, le responsable de l'antenne lot-et-garonnaise de la Fédération française des motards en colère (FFMC). «Nous sommes aujourd'hui, avec ces nouvelles mesures, victimes de racket en bandes organisées de la part de l'État !» Les dernières mesures prises par le gouvernement concernant la circulation ont décidément beaucoup de mal à passer.

Dans toute la France, elles ont provoqué un tollé. Un vif mécontentement qui se traduira, samedi après-midi, à Agen, par une grosse manifestation dans le centre-ville. «Tout sera bloqué, préfère prévenir le motard colérique. La manifestation s'élancera à 14 heures en remontant le Gravier et en bloquant le rond-point de Jasmin. Puis nous irons dans le centre en bloquant d'autres points de circulation importants. Le but final sera la préfecture, où nous espérons être reçus pour faire part de notre mécontentement.»

Centre-ville bloqué

Plusieurs points agacent particulièrement les usagers de la route. D'abord, la limitation de vitesse ramenée à 80 km/h sur les nationales. «Tout simplement une raison supplémentaire de verbaliser, tempête Jérôme Pentolini. Aucun chiffre n'est venu justifier cette mesure. De plus, cela va augmenter la consommation de carburant et l'émission de CO2 car les voitures actuelles sont conçues pour rouler à 90 km/h.»

Aussi, avec cette limitation, il sera plus difficile de doubler les poids lourds. Le président de la FFMC 47 craint un agacement des automobilistes et, de fait, des comportements dangereux sur la route.

La réforme du contrôle technique reste aussi en travers de la gorge des automobilistes. «Ils vont le rendre encore plus draconien. Surtout, cela va impacter le Français moyen, qui n'a pas forcément les moyens de faire réparer en 24 heures.»

En bref, un réel ras-le-bol. Bien senti de la part des Motards en colère, qui se veulent fédérateurs de ce mouvement de contestation. Samedi à leurs côtés, on retrouvera les fédérations des Landes, du Gers, de Haute-Garonne et de Tarn-et-Garonne. Ainsi que les ambulanciers, les taxis et les routiers lot-et-garonnais. Plus les nombreux autres usagers de la route opposés à ces réformes. Bref, le cortège de deux-roues et de quatre roues promet d'être important. Sur Facebook, 700 personnes se sont dites intéressées par la manifestation. Seule inquiétude, la météo qui pourrait démotiver certains manifestants.

D'autres manifs sont prévues

La FFMC a prévu de lancer une nouvelle manifestation du même type le samedi suivant, aussi dans le centre-ville d'Agen. «Et d'autres en semaine si le mouvement prend de l'ampleur.»

Samedi, Agen sera le cœur de l'opposition aux réformes sur la circulation dans le Sud-Ouest. «Les gens en ont marre et ne comprennent pas les décisions prises.» Et comptent bien le faire savoir dès samedi.

[ Source : Le Dauphine ]

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Les représentants de la FFMC 26/07 avait claqué la porte de la conférence de presse lors de la signature, en préfecture, du DGO de la sécurité routière. Archives DL/F.H.

 

La Fédération française des motards en colère Drôme-Ardèche (FFMC 26/07) appelle à la mobilisation sur la N7, à Pont-de-l’Isère, dès samedi matin, 10 heures. Une commune qui se trouve sur le tronçon expérimental drômois du 80 km/h. « Nous manifesterons et exprimerons aux usagers de la route les raisons de notre mécontentement. Les taxis seront également mobilisés », indique Didier Chartier, vice-coordinateur de la Fédération française des motards en colère Drôme-Ardèche (FFMC 26/07). « Nous déplorons, notamment, l’absence de retours sur les tronçons expérimentaux à 80 km/h ».

 

Précisons que le 12 janvier, la FFMC 26/07 s’était désengagée de sa démarche partenariale lors de la signature, en préfecture, du Document général d’orientation (DGO) de la sécurité routière 2018-2022.

[ Source : France 3 - Région Auvergne/Rhone-Alpes ]

 

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Le rapport sur l'expérimentation à 80 km/h menée ne mentionne aucune donnée sur l'accidentalité. C'est pourtant l'argument utilisé par le gouvernement pour choisir d'abaisser la vitesse sur les routes. La FFMC 69 s'associe à la Ligue de défense des conducteurs et s'oppose fermement à cette décision

 

Le rapport sur l'expérimentation à 80 km/h menée entre juillet 2015 à juillet 2017 ne mentionne aucune donnée sur l'accidentalité. L'expérimentation conclue qu'à 80 km/h, il n'y a pas plus d'embouteillages et que la vitesse moyenne diminue! Rien sur l'incidence sur les accidents.  
De son côté, le gouvernement se défend en évoquant des tronçons étudiés trop courts et une expérimentation elle aussi trop courte, cinq ans auraient été plus révélateurs au lieu de deux.
Et pourtant décision a été prise de légiférer sur cet abaissement de la vitesse.
Alors les conducteurs s'insurgent et voient en cette mesure une source de procès verbaux supplémentaires et donc de revenus pour l'Etat.

Suite à cette décision unilatérale du gouvernement, la FFMC 69 a décidé d'interpeller les députés du département sur la baisse de la limitation de vitesse à 80 km/h. Les motards ne s'affichent pas contre des mesures mais ils réclament "une vrai politique de sécurité routière et non pas ces fausses mesures qui n’auront pour effet que d’engraisser les caisses de l’état".

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En province, les motards ont commencé à se mobiliser pour protester contre la baisse de la vitesse à 80 km/h sur le réseau secondaire, qui doit entrer en application le 1er juillet 2018. Tour de France non exhaustif.

[ Source : Ouest-France ]

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Une soixantaine d’entre eux se sont rassemblés, ce vendredi 12 janvier 2018 au soir, devant la préfecture, à Nantes.

 

Ce vendredi 12 janvier 2018 au soir, devant la préfecture de Loire-Atlantique, à Nantes, à l’appel de la fédération française des motards en colère (FFMC 44), une soixantaine de motards se sont rassemblés. Afin de dire leur opposition à la limitation à 80 km/h sur le réseau secondaire. Limitation annoncée cette semaine par le Premier ministre, Édouard Philippe.

 

Contrairement aux spécialistes de la Sécurité routière, la FFMC-44 considère que la vitesse n’est pas la cause majeure des accidents de la route ! « Ce n’est pas en jouant avec une formule mathématique qu’on sauve des vies, mais en agissant sur la formation et la qualité des infrastructures » , disait notamment un communiqué de l’association, diffusé ce même vendredi.

 

Les motards sont désormais invités à faire pression sur les dix députés de Loire-Atlantique, pour tenter de persuader le gouvernement de retirer cette mesure. Pas sûr qu’ils soient bien reçus, après certains propos tenus par le porte-parole de la FFMC-44, propos insultants pour les élus de la République.

[ Source : Actu.fr > Voix du Jura ]

Contre le 80, une première manifestation (motards et automobilistes) est organisée à Chalon-sur-Saône samedi. Hier, la FFMC s’est invitée au vœux de la députée Danielle Brulebois.

 

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Mardi soir, les motards en colère du Jura se sont invités aux voeux de Danielle Brûlebois et ont annoncer une série d’actions dans les prochaines semaines (©Voix du Jura)

 

En opposition avec la décision du Premier ministre d’imposer une limitation à 80 km/h sur les routes sans séparation (lire ici), le groupe Motard 71 a décidé d’organiser, ce samedi 13 janvier 2018 à 14 heures au Pôle moto de Chalon-sur-Saône,  ZA Sevrey, un rassemblement de protestation ouvert aux motards, mais aussi aux autres usagers : automobilistes et routiers.

 

Ce rassemblement a été initié de façon spontanée par les motards de ce groupe actif sur Facebook, qui devraient être rejoints par des motards du Jura et des départements limitrophes.

« Nous en avons ras-le-bol de la politique répressive du gouvernement sur la circulation routière », explique ainsi David, l’un des organisateurs.

 

Le rassemblement a été déclaré en Préfecture, mais n’est pas organisé sous l’égide de la FFMC 71, qui se dit « opposée à cette nouvelle mesure de limitation absurde », mais indique n’avoir « pas d’infos sur l’organisation de cette manifestation » ; tandis que la FFMC 39 note qu’elle est organisée par des motards « soucieux de leur avenir » : « La FFMC 39 n’est pas en mesure, d’ici samedi, d’organiser un départ sécurisé pour Chalon, mais que cela ne vous empêche pas d’y aller », écrit Alain Mazzier, le coordinateur départemental du Jura, sur la page Facebook du mouvement.

 

La FFMC 39 s’invite aux vœux de Danielle Brulebois

 

Et si la FFMC n’est pas l’organisatrice de ce rassemblement, elle annonce de son côté la mise en place d’actions dans les semaines à venir. « Il faut juste le temps de s’organiser et prendre le temps de réfléchir à ce qu’il faut faire », insiste Alain Mazzier.

 

Une délégation de cinq motards en colère s’est toutefois invitée, mardi soir, aux vœux de la députée LREM de la 1ere circonscription du Jura, Danielle Brulebois. « On est allé lui souhaiter la bonne année, mais aussi dire notre désaccord sur le passage à marche forcée vers le 80 km/h sur les routes, la privatisation des radars embarqués ou encore les zones de circulation restreintes. Et aussi pour lui rappeler notre demande de rendez-vous, pour l’instant restée sans réponse. »

 

« Pour l’instant, notre rassemblement de samedi est prévu pour discuter entre nous de l’évolution du projet à suivre. Mais le mouvement prend de l’ampleur, des motards de plusieurs régions nous ont contactés et des personnes devraient ainsi venir de toute la région », conclut David, le motard du 71.

 

[ Souce : Info-Chalon.com ]

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L'agglomération chalonnaise pourrait être le centre d'une mobilisation de la FFMC qui appelle à manifester dans plusieurs villes de France après les décisions prises par le gouvernement.

 

Plusieurs doléances seront au centre de la mobilisation des motards en colère ce samedi, à l'appel de la FFMC. "Mépris des ministères envers les usagers des deux roues", "racket des radars"... la liste s'allonge et le dernier coup asséné par le gouvernement avec le passage à 80 km/h sur les routes secondaires, n'arrange rien.

 

Un rassemblement est en cours d'organisation en ce qui concerne la Saône et Loire du côté du Pôle Moto à Sevrey. Rendez-vous est donné pour 14h. Les deux roues devraient donc se faire entendre avec un certain nombre de perturbations au niveau de Chalon à prévoir. 

 

Plus d'infos plus tard sur info-chalon.com

L.G

arton33923 7b261[ Source : Moto-Mag ]

 

Sans grande surprise le Premier ministre Edouard Philippe a annoncé hier la baisse de la vitesse maximale autorisée à 80 km/h au lieu des 90 en cours sur 400 000 km de routes françaises. Cette mesure, l’une des 18 de ce Comité Interministériel de Sécurité Routière, provoque déjà l’ire des associations d’usagers, FFMC en tête. Edouard Philippe n’en a que faire. « Si pour sauver des vies il faut être impopulaire, j’accepte de l’être » a-t-il déclaré.

 

[ Source : le Journal Moto du NET ]

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Alors que le Comité interministériel de la sécurité routière (CISR) prévu mardi 9 janvier risque d'entériner la baisse de la vitesse à 80 km/h sur le réseau secondaire, l'antenne du Vaucluse de la Fédération française des motards en colère (FFMC 84) dénonce les "pleureuses" qui l'interrogent sur les actions à mener.

[ Sources : Site 42info.fr ]

 

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Les motards se sentent lésés par ce dispositif trop discriminatoire.

 

La vignette Crit’ Air a été mise en place dans la Loire en novembre dernier pour lutter contre la pollution. À tout moment, la préfecture peut déclencher l’opération et interdire certains véhicules trop polluants lors de pics de pollution. Seuls les véhicules avec le macaron pourront circuler à ce moment-là.

 

Pour l’association FFMC 42 (association des motards de la Loire) elle est discriminatoire.

[ Source : Le repaire des motards ]

Des formations post-permis pour les motards

L'ACEM et le DVR remettent l'European Training Quality Label

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Depuis plus de 35 ans, l'Association pour la Formation Des Motards (AFDM) propose aux usagers de deux-roues motorisés de parfaire leurs compétences avec des formations post-permis. Intégrée au mouvement des Motards en Colère (FFMC), l'AFDM vient d'être reconnue au niveau européen.

 

L'ACEM et le German Road Safety Council (DVR) viennent ainsi de remettre le label "European Training Quality Label" aux formations dispensées par l'association. Après leur mission d'audit, les experts indépendants ont ainsi reconnu la qualité de ces formations qui permettent aux motards d'acquérir un comportement plus adapté à l'environnement routier.

En Normandie, les nids-de-poule sont nombreux sur les routes fréquentées en période hivernale. Pour améliorer la situation, l'État planche sur des solutions.

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Les routes se dégradent en hiver en Normandie, notamment à Rouen (Seine-Maritime). Comment faire pour lutter contre ce fléau ? (©Julien Sureau)

 

En Normandie, on ne compte plus les nids-de-poule sur les routes les plus fréquentées, surtout en période hivernale. À Rouen (Seine-Maritime), la Fédération française des motards en colère (FFMC) de Seine-Maritime alerte régulièrement les autorités sur l’état des routes en hiver :

Ce n’est pas pire à Rouen qu’ailleurs mais l’état des routes en hiver se dégrade sérieusement, souligne Gwenaël Lamoureux, le coordinateur FFMC 76. J’ai même changé de moto pour rouler à Rouen. C’est plus confortable en moto trail sur les routes abîmés.

 

[ Source : Caradisiac Moto ]

 

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Fondée en 1984 par la fédération des Motards en colère, l'Association pour la Formation Des Motards (AFDM) est une action basée sur le bénévolat et permet à des jeunes motards ou non de recevoir une formation complémentaire à leur permis de conduire. Elle vient de recevoir un label Européen pour la qualité de leurs enseignements.

 

C’est l'ACEM (L'Association Européenne des Constructeurs de Motocycles) et le DVR (German Road Safety Council) qui ont conjointement remis à l’AFDM « l‘European Training Quality Label ». Docteur Veneta Vassileva, coordinatrice sécurité pour l'ACEM explique que « l'attribution de ce label à l'AFDM est une reconnaissance de leur engagement sans faille et de leur expertise dans le domaine de la formation pour une meilleure sécurité routière. Nous sommes vraiment impressionnés par tout le travail que cette association réalise ».